mercredi 21 février 2024

cercle littéraire

 Vous aimez lire et partager vos coups de  coeur, je vous propose un temps convivial avec le cercle littéraire. Ce cercle se réunit 3 à 4 fois par an, vous choisissez deux livres à partager et vous apportez  des petites choses à grignoter. 

mercredi 28 février à 19h15

à bientôt 


vendredi 16 février 2024

 

Rencontre avec > Marie NDiaye

22 février 2024 - 19h00 - 20h00

Avec Marie NDiaye.
Modération par Aimée Ardouin


Marie NDiaye est invitée à la Maison Julien Gracq pour une rencontre exceptionnelle.

À propos de l’autrice :

Marie NDiaye est née en 1967 à Pithiviers. Elle est l’autrice d’une vingtaine de livres – romans, nouvelles et pièces de théâtre. Elle a obtenu le prix Femina en 2001 pour Rosie Carpe, et le prix Goncourt en 2009 avec Trois femmes puissantes. Une de ses pièces, Papa doit manger, est entrée au répertoire de la Comédie-Française.

 

Cet évènement se déroule à la Maison Julien Gracq.

vendredi 2 février 2024

paysages de Saint Florent le Vieil - Marie Sourice

 Marie Sourice (1906-1979) exposition du 3 février au 31 mars

Marie Sourice, fut une artiste peintre passionnée par les villages fleuris de son Anjounatal, avec un lien fort avec la petite cité de Saint Florent le Vieil qu’elle a peinte inlassablement.

Son initiation à la peinture, elle la doit à un peintre rencontré en Bretagne, Maurice Levis (1860-1940), membre de la Société des artistes français, qui peignait des paysages de France et d’Orient et qui avait eu lui-même au nombre de ses maîtres, un paysagiste au talent reconnu : Harpignies. Deux voyages en Algérie, en 1936 et 1938, qui la confrontaient à son tour aux couleurs de l’Orient, ont certainement joué également un rôle dans sa formation d’artiste et contribué aussi sensiblement à éclaircir sa palette, aux couleurs de plus en plus vives. Marie Sourice avait également suivi, à Paris, les cours de Maurice Lévis, lui-même ancien élève de Corot »,
Dans sa famille, on l’appelait « Mimie ». Et tous les Florentais qui l’ont connue et pour lesquels elle était devenue une figure si familière l’appelaient aussi « Mimie Sourice ». On était habitué à la croiser dans les rues du vieux Saint-Florent ou sur les bords de la Loire, assise sur son pliant, revêtue de sa blouse, sa palette dans une main, ses pinceaux dans l’autre, peignant le paysage qu’elle avait sous les yeux. Souvent le Mont-Glonne avec sa célèbre église abbatiale dans son écrin de verdure et la Loire en contrebas. Ou, de façon beaucoup plus cadrée, un vieux porche, orné d’une glycine, une maison ancienne, avec son coin de jardin, toujours fleuri, auxquels elle ne manquait pas d’ajouter une touche de vie, une note humaine. Toujours prête à engager la conversation, sur le ton le plus amical et avec tous : vieilles gens ou jeunes gamins, Florentais ou touristes, toujours souriante, mais franche aussi.
Partout chez elle en Anjou, on la retrouvait planter son chevalet au cœur d’un village ou au bord de l’eau, pour y peindre des toiles de plus en plus fleuries. Personne n’a oublié ses cerisiers et pêchers en fleurs, jaillissant au-dessus des murs des ruelles du vieux Saint-Florent, ses arbres de Judée en bord de Loire et son goût pour les lilas, les jasmins, les giroflées et surtout les glycines qui ont fait d’elle véritablement le « peintre des glycines ».

L’exposition a pu se réaliser grâce aux prêts de la famille de Marie Sourice et d’habitants de St Florent le Vieil

Crédit : article extrait du blog racontez les mauges